I already own one recording of Salieri's 'Les Danaides' and I did dither quite a bit before buying this second one but I'm glad I did. Much as I enjoy the earlier recording by Michael Hofstetter, this new version by Christophe Rousset and his Talens Lyriques is a definite improvement. The orchestral playing and the overall sound are just so much more vibrant and - as appropriate - dramatic. This female chorus sound less like placid bridesmaids and more like bloodthirsty maenads in their Act 4 revels. Rousset also scores with a much more attractive Lyncee, the tenor Philippe Talbot and the excellent Tassis Christoyannis as the double crossing Danaus. Judith van Wanroij does really well in the tough role of Hypermnestre although Sophie Marin-Degor is also excellent in the earlier recording. The piece itself gets better every time I listen to it. There is some terrific music here and the finale with taunting demons chuckling over the anguished screams of the tormented Danaides (they deserve it) is great fun - foreshadowing the last act of Mozart's Don Giovanni.
Praticamente un libro che tratta in modo esaustivo dell'opera e contiene tutto il libretto oltre a diversi articoli. La risposta a edizioni forse più economiche ma che mancano totalmente dell'apparato testuale e critico. Esecuzione impeccabile che rende al meglio uno dei capolavori di Salieri, replicato anche fino a metà ottocento e apprezzato da Berlioz, tanto da convincerlo a dedicarsi totalmente alla musica.
Salieri est trop peu connu dans notre pays et son opéra en français méritait un enregistrement d'exception et c'est ici le cas. Les chroniques anciennes nous disent combien formidable fut le succès de cette œuvre et combien nombreuses en ont été les reprises, puisque le jeune Berlioz en fut admiratif. Bien que créé sous le nom de Glück, on voit que son jeune élève avait déjà une belle maîtrise de l'opéra. merci à C; Rousset et aux Talens Lyriques de nous faire ce cadeau. La direction, l'orchestre ,les chœurs et les solistes sont d'excellent niveau et rendent à merveille l'aspect parfois "décoiffant" de cette mythologie sanglante.
On savait, par d'autres versions, qu'il s'agissait d'un chef d'œuvre digne du meilleur Gluck. Rousset en donne, avec son orchestre et tous ses solistes, une version absolument convaincante: à la fois parfaite musicalement, comme toujours, mais avec toute la puissance dramatique requise par cette œuvre violente.